PanDA, une solution pour simplifier et sécuriser les demandes d’agrément
Attestation Légale, système complet de gestion des informations liées à la conformité, se charge de collecter et numériser l'ensemble des données et des documents administratifs. Depuis 5 ans, ce service en ligne simplifie le quotidien des entreprises, sécurise et pérennise la relation clients-fournisseurs.
La collecte des documents certifiés conformes sont souvent au cœur d’une demande d’acceptation de sous-traitance, PanDA s’inscrit alors comme une suite logique de développement pour la plateforme d’Attestation Légale. « La solution PanDA délivre tout son potentiel quand les utilisateurs sont déjà chez Attestation Légale mais il n’est pas obligé d'être sur cette plateforme pour pouvoir utiliser PanDA, ce qui offre une possibilité à un grand nombre d’acteurs », déclare Clément Blondelle, développeur du projet PanDA.
PanDa simplifie le processus de demande d’agréments
Attestation Légale avait déjà simplifié une partie de ce processus puisque ce dernier récupère les pièces, les met à jour et permet donc aux entreprises qui souhaitent faire des demandes d’agréments, de récupérer les pièces de leurs sous-traitants plus facilement. Aujourd’hui, l’interconnexion entre la solution PanDA et la plateforme d'attestation légale OnceForAll permet notamment aux utilisateurs de PanDA de récupérer des données déjà renseignées sur la plateforme et, ainsi, de n’utiliser qu’un seul outil pour l’ensemble de leurs démarches. « L’utilisateur de PanDA fait tout en ligne, l’utilisateur crée son espace sécurisé sur la plateforme et fait directement sa demande d’agrément par le biais d'internet. La solution récupère alors automatiquement les pièces d’attestation légale si le sous-traitant est présent sur la plateforme puis envoie des notifications par mail pour que chaque intervenant puisse signer en ligne », précise Clément Blondelle.
Désormais commercialisée et faisant déjà l’objet de pré-commandes, cette nouvelle solution promet deux avantages. La première est de tout dématérialiser et la seconde est la garantie que les pièces sont bien les bonnes. « On simplifie la partie la plus compliquée, celle de récupérer les pièces et de s’assurer que ces dernières sont bien mises à jour. On permet également de déposer les documents justificatifs concernant les conditions de paiement du sous-traitant, ce qui permet de faire l’ensemble des tâches concernant la demande d’agrément : l’acceptation et les conditions de paiement, tout ça en un seul coup », indique le développeur.
A noter qu'aujourd’hui « il y a une réelle réflexion sur comment dématérialiser les réunions de chantier et les relations entre les professionnels, encore plus dans le contexte Covid. »
Un outil 100% « client »
Dès juin 2019, des réflexions ont été menées par PanDA avec une trentaine de futurs clients, pour co-construire ce nouveau service. « PanDA part d’un besoin client et c’est pour cela qu’on a décidé de les réunir afin de co-concevoir cet outil. La première partie s’est faite avec des directeurs juridiques pour définir quel était le cadre légal pour que PanDA puisse s’insérer correctement. Ensuite, il y a eu la phase de conception, cette fois-ci avec des opérationnels, des responsables de programme par exemple, qui réalisent des demandes d’agréments au quotidien. Et enfin, des tests utilisateurs afin d’améliorer le design de la plateforme et son expérience client », explique Clément Blondelle, avant de préciser « nous ne sommes qu’à la moitié de la road-map définie avec ce comité collectif d’utilisateurs. »
En plus de vouloir accélérer et simplifier le processus de demande d’agréments, la solution désire accompagner ses clients au maximum. « On fait un point qui nous permet de faire un état des lieux, soit toutes les semaines, soit tous les quinze jours, ça dépend de la demande du client. Et si le client est réactif, la demande d’agrément peut être signée en une journée ».
Pour Clément Blondelle, l’objectif est de référencer PanDA auprès d’une vingtaine de clients d’ici fin décembre pour à long terme, couvrir l’ensemble des utilisateurs qui ont ce besoin là. « On est qu’au trois-quart du potentiel de fonctionnalité, on a encore des choses à faire mais beaucoup nous ont fait et nous font confiance », conclut-il.
Marie Gérald