Les utilisateurs de la Défense veulent un développement de ce quartier
implantées à la Défense, souhaite que ce vaste quartier d'affaires à l'ouest
de Paris (Hauts-de-Seine) garde son attractivité et poursuive son
développement.
Ce document régit les grands équilibres du territoire (activités économiques, extensions urbaines...). Un de ses enjeux devrait être le rééquilibrage vers l'Est de l'IDF. La Défense est "une belle réussite dont les étrangers cherchent à percer les secrets", selon Aude qui met en avant sa puissance économique, illustrée par la taxe professionnelle que versent ses entreprises : plus de 150 millions d'euros.
La Défense abrite trois millions de M2 de bureau, offre 150.000 emplois, dispose de 5.500 logements occupés par 21.000 habitants, d'importants équipements : CNIT, Grande Arche... Son avenir, pour l'association, dépendra "des décisions qui seront prises sur sa nouvelle gouvernance" et "la définition du nouveau projet qui relayera la phase de construction".
Le succès sera "à la mesure de l'ambition" visant à "conforter ce qui est un extraordinaire atout pour l'Ile-de-France", ajoute AUDE. "Maintenir le quartier en l'état ne serait pas suffisant". Après la phase de construction qui s'achèvera avec la fin de l'EPAD, établissement public d'aménagement de la Défense, fondé en 1958 et qui sera clos en 2007, il convient "d'engager un nouveau cycle". Ce cycle doit comprendre, aux yeux d'AUDE, "le renouvellement du parc immobilier des premières générations de tours, des mises à niveau des bâtiments, anciens, des démolitions-reconstructions, des constructions neuves".
Il faut aussi "'augmenter la capacité d'accueil du site", mettre à niveau ses équipements technologiques, "ouvrir le quartier vers ses territoire" mitoyens".