Après un diplôme d’ingénieur en travaux publics et fort de son expérience professionnelle de trois ans dans le domaine du bâtiment pour les ministères de l’écologie et du logement, l’opportunité de faire un tour du monde s’offre à Romain. Objectif ultime: publier un ouvrage sur le thème de la construction. Mais pour pouvoir partir, Romain a besoin de sponsors!
« En plus évidemment d’aller à la rencontre de la diversité des populations, des cultures et des paysages, l’objet de ce projet est de partager mes expériences de voyage par des articles d’analyse illustrés sur le thème de la construction », explique Romain Remesy, qui envisage un tour du monde sur le thème de la construction.
Le choix de cette thématique est justifié par le fait que le paysage que nous observons est sans cesse transformé par l’homme à travers ses ouvrages, et ce depuis bien des millénaires et de façon singulière selon les régions, qu’il s’agisse des bâtiments, des ponts, des routes, des ports, des tours.
Cette idée est née de l’alliance d’une envie personnelle de découvertes et du souhait de faire profiter ses connaissances en
travaux publics, et notamment son expertise en bâtiment. Il s’envolera donc en décembre 2013 vers l’Ouest pour démarrer son périple d’un an, équipé de son sac à dos, de sa curiosité et de sa bonne humeur.
Des analyses personnalisées des ouvrages observés
Pour financer son projet, il a décidé de mettre à disposition ses analyses, par le biais d’articles personnalisés imagés avec une mise en évidence du sponsor à sa convenance, à qui voudra bien l’aider : éditeurs de livres de voyages, entreprises de travaux publics, revues de presse, maisons de radio, reporters, etc.
« Le terrain est la meilleure solution pour obtenir les informations les plus authentiques et pour se laisser surprendre par des anecdotes racontées par les locaux, ce qui rajoute alors aux enseignements sensations et émotions », précise le jeune homme.
« Le but ultime de ces investigations est de les compiler dans un ouvrage sur le thème de la construction, fil d’Ariane de mon voyage », conclut-il.