La nouvelle association HQE – France GBC définit ses objectifs
Cette fusion permettra « sans équivoque de porter et faire fructifier les actions initiées par les deux associations », ajoutent-elles.
La nouvelle association compte désormais plus de 200 adhérents, syndicats et fédérations, sociétés et entreprises, collectivités territoriales et établissements publics, association et professionnels, etc.
« Sont ainsi rassemblés des acteurs à la pointe de l’innovation en faveur de la ville durable ainsi que des syndicats professionnels ayant la capacité d’entrainer leurs membres », précise un communiqué.
La fusion se présente ainsi comme l’opportunité d’aller plus loin en termes de performance tout en mobilisant toujours plus d’acteurs et donne une capacité de représentation du monde du bâtiment, de l’aménagement et des infrastructures durables, « unique en France ».
L’Association HQE – France GBC au cœur de l’actualité
Pour mener à bien ses projets, la nouvelle entité a désigné un nouveau conseil d’administration qui sera dirigé par Anne-Sophie Perrissin-Fabert.La nouvelle association indique être déjà au cœur des sujets d’actualité avec notamment l’évolution du dispositif éco-quartier. Le 28 juin dernier, et afin de faire bénéficier l’Etat de son retour d’expérience avec HQE Aménagement, elle avait d'ailleurs participé au Forum Ouvert des Éco Quartiers.
Michel Havard, président de l’Association, a lui salué l’expérimentation du label « énergie-carbone » préfigurant la future réglementation environnementale. « La transition énergétique et environnementale est un challenge pour notre secteur dans un contexte économique difficile. Expérimenter est la meilleure solution. Elle permet d’accélérer la courbe d’apprentissage du secteur et de s’assurer que les choix méthodologiques et les seuils de la future réglementation environnementale permettront d’atteindre un optimum technico économique », a-t-il déclaré.
« L’Association HQE-France GBC se réjouit que les Ministres aient inscrit le label énergie-carbone dans une dynamique environnementale plus large à travers la capitalisation d’autres indicateurs tel que les déchets, l’eau, etc. », a-t-il conclu.
R.C