LafargeHolcim vers un changement de nom ?
« Le nom d’une société et la marque sont des questions liées. La marque a une valeur. Nous en avons deux, Lafarge et Holcim. Nous avons un travail à faire pour une marque unique mondiale », a-t-il expliqué, allant jusqu’à préciser qu’il pourrait « faire une annonce très prochainement ».
Se développer sans dépendre des grossistes
Pour l’heure, toutes les pensées d’Eric Olsen sont tournées vers l’Équateur, où LafargeHolcim s’apprête à lancer « une plateforme B to C de vente au client final, qui sera une première dans le groupe », selon le directeur général. Une véritable aubaine pour l’entreprise, qui pourrait ainsi pratiquer des prix plus élevés (puisque ne passant par des grossistes) et améliorer sa marge de 15%.D’autres pays émergents devraient accueillir dès 2017 le même type de plateforme, à l’instar de l’Afrique du Sud, du Maroc ou de l’Argentine. Une politique commerciale dont l’objectif est clairement affiché par Eric Olsen : faire de la vente au détail une « priorité stratégique ».
F.C (avec AFP)
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