Tectofin version toitures-terrasses inaccessibles sur élément porteur bois : Chantier de maison individuelle à Mende
« Si le reste de la maison est en béton, la charpente, elle, est en ossature bois, avec 2 % de pente fini, » précise Anne Delmas-Jarousse, la propriétaire et conceptrice de cette belle maison contemporaine qui domine Mende. « Il y a trois toitures-terrasses, une grande de 120 m² et deux petites de 20 et 40 m² sur lesquelles donnent des fenêtres de la maison. » Pour les étancher, l'entreprise Simon et Fils a proposé une solution synthétique, le procédé Tectofin de Siplast. « Je voulais des toits-terrasses, » souligne Anne Delmas-Jarousse. « Pour leur étanchéité, quand Richard Simon m'a proposé ce matériau, il m'a tout de suite plu. » |
Un chantier dans de bonnes conditions |
Mi-juin, lorsque le chantier s'est déroulé, la météo était de la partie. « Nous sommes intervenus durant deux semaines au total, » explique Richard Simon. « Que ce soient les panneaux isolants supports - laine de roche ou mousse polyuréthane - ou l'étanchéité, nous les avons posés en indépendance, le tout étant sous protection meuble. Pour la réalisation de l'étanchéité des parties courantes comme pour les relevés ou points singuliers, nous n'avons eu aucun problème. » Après la pose du pare-vapeur (Irex Profil) et de l'isolant, Tectofin RV a été positionnée et ses recouvrements soudés au chalumeau à air chaud, les soudures étant ensuite confirmées avec Tectofin Liquide. Les relevés ont été traités avec Tectofin RG. « Le produit Tectofin RV me plaît bien, j'ai confiance en lui, et il permet également des poses collées ou fixées mécaniquement, ce qui est d'une grande souplesse. » conclut Richard Simon. Quelques mois plus tard, même si la maison n'est pas encore habitée, satisfaction de sa propriétaire et maître d'œuvre : « Ça ne fuit pas ! », sourit-elle, « et nous sommes satisfaits du rendu final, avec galets de marbre blanc pour les petites terrasses visibles et galets classiques pour la grande. » C'est donc avec confiance également qu'Anne Delmas-Jarousse envisage l'hiver qui, en Lozère à 700 m d'altitude, peut être rude avec neige et gel. |