Schöck dévoile le dernier né de sa gamme de rupteurs de ponts thermiques, Rutherma type DFi : poids plume en carbone mais poids lourd en performances thermique et structurelle
Une réponse concrète à la réglementation thermique qui évolue en réglementation environnementale, avec un atout décarbonation
Le DFi fait peau neuve en matière thermique, fort d’un nouveau corps isolant, du Néopor® (alliage de styrène et de graphite de granit) en lieu et place du polystyrène expansé. |
L’innovation Schöck porte aussi sur un nouveau positionnement des aciers inox du Rutherma DFi, conférant un triple intérêt. D’abord structurel, car la conséquence directe est d’augmenter ses efforts tranchants de 22 % ainsi que la reprise des moments jusqu’à 83 %. Puis thermique, puisque le nombre d’aciers inox a été réduit sur sa longueur d’1 mètre, sachant que moins d’aciers se traduit par moins de conductivité thermique, donc plus de performance thermique. Enfin, le DFi se prévaut d’un faible poids en carbone (kilo de CO2/Ml), grâce à la faible densité de ses armatures en inox.
En cours de validation, une FDES pour le DFi devrait bientôt figurer dans la base INIES et confirmera, à l’instar des modèles type DF, qu’il s’impose comme le rupteur de ponts thermiques le plus économe du marché en matière de carbone.
Schöck prend soin de toujours faciliter le travail des professionnels du bâtiment et de répondre ainsi à leurs attentes. Soulignons que Rutherma DFi assure une mise en œuvre, simple, rapide et sécure, grâce au système tenon-mortaise (emboîtement entre chaque rupteur) et aux pattes de fixation en forme de Z.