Des panneaux photovoltaïques organiques mimétiques à l'étude
L’histoire de cette PME est d’abord celle d’une imprimerie implantée à Limoges au début du 20ème siècle, à la grande époque des porcelainiers. Soucieuse de répondre aux besoins de ses grands clients, Disa s’est très tôt spécialisée dans l’impression sur porcelaine et a développé des techniques et un savoir-faire dans ce domaine. L'entreprise n’a depuis jamais cessé de se diversifier et a, près d’un siècle plus tard, développé ses propres technologies d’impression sur différents types de supports, notamment sur matières plastiques.
Des laboratoires actifs dans le monde
Disa lance ainsi la filiale DisaSolar en 2009, en partenariat avec l’entrepreneur Stéphane Poughon, pour la fabrication de panneaux solaires organiques souples par impression. Il décide de prendre position sur ce qui sera son futur marché en commercialisant des panneaux de 2ème génération. Il signe son premier gros contrat en 2010 avec la SNCF. Parallèlement, il lance l’entreprise dans un ambitieux programme de recherche pour mettre au point les panneaux solaires de 3ème génération.
DisaSolar fédère aujourd’hui autour d’elle de nombreux et prestigieux laboratoires de recherche français, européens et internationaux : le CEA/INES, le CNRS/XLIM, laboratoires publics de recherche français, le Holst Centre, aux Pays-Bas et la Queens University au Canada.
L.P