La CAPEB, le CINOV Construction, la FFB, la FFTB, la FGME, la FNAIM, la Fnas, la FNBM, la Fédération SCOP BTP, le SNBPE, le SNSO, le SYNAMOB, l’UMF, l’Unis, l’Unsfa et l’Untec s’inscrivent en plein accord avec ces objectifs.

Compte tenu du dynamisme sociodémographique français et des déficits accumulés, l’objectif que s’est fixé le Gouvernement de construire 500000 logements par an, score historique, est incontournable (voir graphique ci-dessous). Cet objectif cible extrêmement ambitieux se décompose en : – 150000 mises en chantier de logements locatifs sociaux;
– 40000 logements locatifs privés grâce au dispositif « Duflot » ;
– le solde, soit 310000 mises en chantier, qui relève de l’accession à la propriété, dont 297000 résidences principales.

Amélioration-entretien :  500 000 rénovations thermiques par an

Avec 43 % de la consommation finale et totale de l’énergie et un quart des émissions de CO2 dans l’atmosphère, le secteur du bâtiment représente le potentiel le plus important en termes d’économie d’énergie dans notre pays. C’est sur le parc existant, et notamment le logement existant, que doit principalement porter l’effort pour permettre une véritable transition énergétique.

C’est pourquoi le Gouvernement a fixé l’objectif de 500000 rénovations thermiques par an à l’horizon du quinquennat lors de la Conférence environnementale des 14 et 15 septembre 2012. Dans cet ensemble, la précarité énergétique reste un objectif en soi, qui doit encore trouver sa solution. Qui plus est, le légitime effort en matière de rénovation thermique doit être accompagné d’autres travaux nécessaires à la remise à niveau des logements dégradés, au maintien du bon état général du parc et à la mise en accessibilité des logements.
 

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