François Petry devient président du SFIC
Le 1er février, François Petry est devenu président du SFIC (Syndicat Français de l’Industrie Cimentière) après avoir été élu le 14 janvier pour succéder à Raoul de Parisot, plusieurs fois nommé directeur du syndicat, une première fois de 2015 à 2017, puis de 2019 à 2020.
François Petry avait commencé sa carrière en 1991 dans l’entreprise Jean Lefebvre, tout jeune diplômé des Arts et Métiers Paris Tech et d’HEC, il restera 9 ans dans la même entreprise avant de commencer son évolution progressive. À l’aube du XXIème siècle, il intègre Séché Environnement en tant que directeur de filiales. 8 ans plus tard, après avoir fait le tour de la société, il rejoint Holcim France et est nommé, dès son arrivée, directeur général de l’activité granulats.
Sa carrière, François Petry la continuera chez Holcim, occupant différents postes à responsabilités. Il devient d’abord, en 2013, le directeur de la filiale du groupe en Roumanie avant de rejoindre en 2015 le Royaume-Uni pour y entreprendre des activités dans le ciment, les granulats, le béton et l’asphalte pour Aggregates Industries UK, une filiale de LafargeHolcim. François Petry, fort de son parcours professionnel revient en France et est nommé en 2018, directeur général de LafargeHolcim France.
Grâce à ses expériences, le businessman tape dans l’oeil du SFIC et est nommé, comme cité plus haut, président du syndicat français de l’industrie cimentière, avec pour ambition de réduire l’impact environnemental de l’industrie du ciment : « L'industrie cimentière s'inscrit pleinement dans les objectifs de réduction de l'empreinte carbone de la France. A l'heure du Green Deal européen et du Pacte productif, notre industrie actionnera tous les leviers à sa disposition, en particulier l'économie circulaire et l’innovation. C'est dans un esprit de co-construction avec les pouvoirs publics, mais aussi avec l'ensemble de la chaîne de valeur de la construction et des territoires que nous pourrons collectivement relever le double défi de la transition écologique et du dynamisme industriel local », estime-t-il.
J.B