Le CMES, engagé pour le respect de l’homme et de l’environnement
Ils assurent une représentation de leur métier dans différentes instances professionnelles et travaillent au niveau européen autour de la normalisation.
Soucieux d’accélérer le développement de leur produit, ils entament aujourd’hui une campagne d’information pour présenter l’ensemble des qualités des membranes d’étanchéité synthétiques qui en font un produit respectueux de l’homme et de l’environnement.
« Les membranes synthétiques d’étanchéité de toiture se développent en Allemagne et en Suisse à la fin des années 1950. A ce jour elles atteignent 30% du marché européen de l’étanchéité toiture.
En France, elles font une apparition timide au début des années 80. En 1990, elles représentent environ 2% des surfaces couvertes. Aux cours des années qui suivent, de nombreux facteurs contribuent au développement croissant de la demande : promotion active de ces systèmes auprès des décideurs, formation du personnel des entreprises d’étanchéité, adéquation des techniques de pose à la problématique des concepteurs et des entreprises (technique, esthétique, sécuritaire et environnementale), et performances de durabilité de ces systèmes. Les ventes augmentent pour atteindre 3,6 millions de m² couverts en 2005, soit 17 % des surfaces couvertes. Les membranes synthétiques d’étanchéité sont utilisées dans les domaines des travaux neufs et de la rénovation, sur structures légères et sur béton.
Aujourd’hui, dans un contexte où le développement durable est dans toutes les bouches, le CMES met en place une communication collective. Cette dernière a pour but de mettre en avant les caractéristiques des MES qui les rendent respectueuses de l’homme et de l’environnement.»
Les membranes d’étanchéité synthétiques et le respect de l’homme :
des conditions de pose optimales (facilité, sécurité, hygiène) et des formations proposées aux poseurs.
Les MES disposent de nombreuses qualités pour le plus grand confort des poseurs :
● légèreté des matériaux alliée à leur robustesse,
● absence de gaz ou de flamme sur le chantier,
● rapidité de pose à l’aide de machines automatiques,
● et facilité offerte par les accessoires préfabriqués en usine pour le traitement des détails de toiture.
Tous ces arguments valorisent la qualification de revêtisseur étanchéiste en membranes synthétiques. Les compagnons des entreprises qualifiées sont formés par les fabricants.
Les membranes d’étanchéité synthétiques et le respect de l’environnement : un produit recyclable et durable, qui peut même être source d’énergie.
Les fabricants de revêtements synthétiques (que ce soit des revêtements de sol, des membranes d’étanchéité toiture…) optimisent leurs produits pour qu’ils allient durabilité et possibilité de déconstruction et de recyclage en fin de vie. Pour les MES, des circuits de collecte, de traitement de valorisation ont été mis en place au niveau européen pour permettre d’optimiser les ressources.
La légèreté des matériaux permet de limiter les quantités d’énergie et de ressources nécessaires à leur transport, leur stockage et leur manutention, ainsi que les structures et éléments porteurs qui reçoivent l’étanchéité. Enfin, les fabricants de MES ont développé des solutions qui permettent d’utiliser les surfaces de toitures terrasses en y intégrant des capteurs d’énergie solaire photovoltaïques.
Les MES : un avantage architectural indéniable !
Enfin, l’avantage architectural du matériau est à ne pas négliger. Les membranes d’étanchéité synthétique répondent aux contraintes architecturales actuelles : besoin de légèreté, de souplesse et d’esthétisme.
Les architectes apprécient tout particulièrement l’aspect lisse et continu des MES, la faculté d’adaptation de leur mise en œuvre aux formes de toiture les plus complexes, ainsi que la gamme des couleurs « franches » proposées qui leur permet de créer une « 5ème façade » .