La gamme de volets battants aluminium que vient de lancer Tryba présente de très bonnes qualités d'isolation et de personnalisation. Conçus selon des critères de production et un cahier des charges très stricts, ces volets ne s'altèrent pas et ne nécessitent aucun entretien. Le processus de laquage leur permet en effet de résister dans des conditions difficiles, telles que la pollution industrielle et les climats montagnards et maritimes, avec une qualité de laquage supérieure en option. Par ailleurs, même soumis à des charges importantes, ces volets aluminium conservent leur apparence d'origine. Ils se motorisent aussi simplement et peuvent être combinés à des détecteurs vent/soleil. Ils permettent de faire varier la luminosité de par la projection ou de lamelles orientables
 
Les volets battants se déclinent en une gamme traditionnelle et une gamme "Iso". Les volets "Iso" intègrent une couche isolante supplémentaire qui permet de réduire fortement la consommation d'énergie et ils bénéficient du crédit d'impôt et du prêt à taux zéro. Les volets pliables offrent de multiples perspectives pour l'aménagement des façades, notamment avec de très grandes baies. Des roulements à billes permettent aux panneaux de glisser sans bruit dans les rails de guidage. A battants ou pliables, les volets Tryba ont été conçus pour s'adapter à tous les styles architecturaux.
 
La gamme comporte désormais 80 modèles et 250 variantes, personnalisables avec 4.000 coloris, dont des effets spéciaux (volets bicolores ou métalliques) pour un style résolument contemporain. 16 décors bois certifiés Qualicoat sont également proposés, ressemblant à s'y méprendre aux diverses essences de bois, claires ou foncées. Idéal pour les volets qui doivent s’intégrer harmonieusement dans une demeure traditionnelle. Ces volets sont thermolaqués et aucun solvant nocif n'est utilisé. Par rapport au laquage courant, cette technique de fabrication permet une résistance plus importante aux rayonnements UV et garantit une couleur plus stable, sans formation de fissures. 

Laurent Perrin