Wolseley, leader de la plomberie, victime de la crise américaine
En Europe, il y a eu selon l'industriel, un ralentissement plus prononcé au Royaume-Uni ces dernières semaines et d'autres marchés du vieux continent ont continué de s'effriter. Le groupe s'efforce pour sa part de mettre l'accent sur les réductions des coûts et l'amélioration de son "cash-flow". Ainsi, depuis le 30 avril dernier, des décisions de restructuration ont été faites, qui devraient permettre une injection de quelques 50 milliards de livres sterling (75 milliards d'euros) d'ici à la fin de l'année.
Ces actions de restructuration ainsi que d'autres initiatives d'amélioration du business doivent permettre, selon le groupe, d'économiser environ 70 millions de livre sterling (110 millions d'euros) sur l'année.
Laurent Perrin