Les Journées K : professionnalisme et convivialité
L'objectif de ces journées est double. C'est d'abord faire rimer professionnalisme et convivialité. C'est aussi faire connaître nos métiers à nos clients. En effet, certains ne viennent jamais à l'agence et traite quasiment tout par téléphone. L'idée est donc d'ouvrir les cuisines du restaurant pour leur permettre de découvrir les nouveautés Matériel.
Comment cela se passe-t-il ? Quels ont été les retours ?
Nous organisons des visites de l'agence et des ateliers. Nous leur proposons également des démonstrations sur de nouveaux matériels. Pour ma part, j'étais à l'agence de Chambéry où nous avons reçu la visite de 150 clients. Donc oui, c'est un succès. Au total nous avons eu entre 50 et 200 visiteurs par agences. Et nous avons à ce jour 268 agences.
Les journées K sont-elles un événement annuel ?
Oui les journées portes-ouvertes sont organisées tous les ans depuis de nombreuses années. Elles étaient organisées au départ sur le plan local, de façon non formalisée, sur demande aux directeurs d'agences. Depuis six ans, nous avons ‘institutionnalisé' cet événement afin qu'il intervienne le même jour dans toutes les agences.
Quelles sont les nouveautés Kiloutou pour 2009 ?
Lors des journées K nous avons mis en avant la gamme Evolution, en mettant l'accent sur trois points : la sécurité, l'environnement et l'innovation. Nous avons en effet toute une gamme qui tourne autour de ces trois points. Nous lançons aussi de nouvelles pelles électriques, des véhicules électriques et des ‘brocks', qui sont de petits engins de démolition. Sans oublier notre gamme de sillage/perforation.
Comment abordez-vous ce contexte de crise ?
Je pense que le plus dur est devant nous. On se pose en effet de plus en plus de questions sur l'horizon à la fin 2009/début 2010. Nos clients ont de la visibilité jusqu'à la fin de l'année mais c'est un peu plus flou pour la suite, ils ont moins de commandes. On observe véritablement un tassement de l'activité. D'où l'importance de ces journées K.
Propos recueillis par Laurent Perrin