Façade bois vs façade ciment, laquelle émet le moins de CO2 ?
« Ces résultats confirment que les solutions bois proposées par les raboteurs industriels répondent aux enjeux actuels de l’écoconstruction. Le bois est une solution pour réduire l’impact climatique de nos constructions », se félicite Pierre Gautron, président du Commerce du Bois.
Pour arriver à de telles conclusions, l'association s'est appuyée sur les données de la Base INIES, de l’Institut Bauen und Umwelt e.V (IBU) et des Déclarations Environnementales FCBA.
Selon cette bibliographie, les émissions de CO2 varient également en fonction des produits bois : elles sont ainsi de 0,47 kg CO2 éq./UF pour un bardage feuillu, 3,2 kg CO2 éq./UF pour un bardage red cedar et 9 kg CO2 éq./UF pour un bardage sapin peint.
« L’essence influe donc sur les émissions. La finition (peinture, lasure, huile,…) joue également un rôle important », souligne l'association, précisant que « les raboteurs industriels innovent sur les compositions des produits et surtout sur les techniques d’application ».
Les produits de finitions à base d’eau, par exemple, grâce à une faible émission de composés volatils organiques, « respectent l’engagement écologique d’un bardage bois tout en apportant des garanties supplémentaires en matière de résistance aux intempéries et de durabilité », assure le Commerce du bois.
« Le savoir-faire des raboteurs industriels du Commerce du Bois est primordial pour proposer aux utilisateurs un bardage bois qui réponde à leur attentes : répondre aux exigences de l’écoconstruction, protéger contre les intempéries, résister aux chocs et satisfaire l’esthétique», explique Pierre Gautron.
Les différentes solutions proposées par les raboteurs industriels du Commerce du Bois sont recensées sur le site Expert Relais Bois.
C.T
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