Alors que les logements, commencés en 2004, devraient atteindre le nombre de 360.000 en 2004, "le plus élevé depuis vingt ans" selon la FBB, "les taux de marges des entreprises s'érodent".

Il s'agit là de la "conséquence de l'envolée des matières premières et de l'acier" qui n'a "pu être répercutée sur les prix". En 2005, par secteur, le secteur non résidentiel devrait enregistrer une "quasi stabilisation" tandis que celui du logement neuf devrait voir son activité progresser de 6,6%. Quant au secteur de l'entretien, il devrait voir son activité progresser en 2005 de 1,7%.

La Fédération projette en 2005 la création de 10.000 emplois au sein du secteur, "dont 20.000 en incluant le travail intérimaire", soit le même volume d'emplois qu'en 2004. Par ailleurs, la FFB estime "souhaitable" le retour de la taxe intérieure sur les produits pétroliers (TIPP) flottante, ainsi que "l'exonération partielle de cette taxe pour les véhicules de plus de 1,5 tonne au lieu de 7,5 tonnes actuellement".