Un mur en Origami contre le bruit
Pour les concepteurs, il faut « repartir d’une approche esthétique de design comme il est demandé et par exemple étudier la perception du paysage en mouvement pour l’automobiliste, mais pour requalifier le paysage sonore traversé, c’est-à-dire pour restituer des espaces sonores contrastés, d’animation, de calme ou de silence - et non seulement pour compenser la nuisance environnementale. D’autre part, il faut réintroduire la troisième dimension, sociale, trop souvent oubliée : repartir d’ une approche anthropologique du vécu mais pour requalifier des milieux sonores vivants (urbains ou ruraux), c’est-à-dire pour rendre possible des usages, des fonctions ou des aménagements nouveaux - et non seulement pour réparer les dommages subis par les riverains.
A suivre en grandeur réel sur une maquette à l'échelle 1, de 8 mètres de long sur 6 mètres de haut