La FNAIM annonce une baisse de 20 à 25% des transactions en 2008
Le délégué général de la Fédération Nationale des Agents Immobiliers (FNAIM), Henry Buzy-Cazaux, a estimé que les agents immobiliers devraient constater une baisse "de 20 à 25%" du volume de leurs transactions à la fin de l'année par rapport à 2007.
Interrogé lundi matin sur BFM radio, le délégué général de la FNAIM annonce d'ores et déjà une baisse « de 20 à 25% du volume de leurs transactions à la fin de l'année par rapport à 2007 » malgré les dispositions prises par le gouvernement en matière de relance du secteur immobilier (projet d'acquisition de 100.000 logements neufs etc...) qui « laissent augurer un redémarrage dans les semaines qui viennent ».
Sur la question de la baisse des prix réclamé par le président de la République, la FNAIM avance le chiffre de 5% et avoue désormais la hausse des négociations, réapparues au moment de la vente. « On parle là des agents immobiliers, mais pour les gestionnaires, les questions de pouvoir d'achat les concernent et globalement aucune profession immobilière n'est épargnée », a dit M. Buzy-Cazaux.
« Les entreprises résistent, elles se battent, elles apportent des services nouveaux, elles tiennent sur leurs réserves. Il est urgent que le marché redémarre », a-t-il ajouté. M. Buzy-Cazaux a souligné cependant que « d'une manière générale c'est le moral des ménages qui doit s'améliorer ».
Bruno Poulard (avec AFP)
Sur la question de la baisse des prix réclamé par le président de la République, la FNAIM avance le chiffre de 5% et avoue désormais la hausse des négociations, réapparues au moment de la vente. « On parle là des agents immobiliers, mais pour les gestionnaires, les questions de pouvoir d'achat les concernent et globalement aucune profession immobilière n'est épargnée », a dit M. Buzy-Cazaux.
« Les entreprises résistent, elles se battent, elles apportent des services nouveaux, elles tiennent sur leurs réserves. Il est urgent que le marché redémarre », a-t-il ajouté. M. Buzy-Cazaux a souligné cependant que « d'une manière générale c'est le moral des ménages qui doit s'améliorer ».
Bruno Poulard (avec AFP)
