K.Line annonce le recrutement de 350 CDI d’ici fin 2018
Aux Herbiers par exemple, 151 personnes ont d’ores et déjà été recrutées depuis le 1er janvier 2017, en CDI et en alternance. 30 CDI viendront compléter l’équipe d’ici la fin de l’année et 200 postes seront ouverts en 2018, toujours en CDI, sur l’ensemble des métiers de la société : production, conducteur de ligne automatisée, sécurité, qualité, logistique, fonctions commerciales, fonctions support, etc.
« Nos besoins en production se confirment. Ils entrainent dans leur sillage des besoins croissants dans toutes les fonctions de l’entreprise. Nous cherchons donc à recruter durablement, en CDI, des profils intéressés par une entreprise innovante, solidaire et au projet d’entreprise clair », explique Pierric Postic, Directeur des ressources humaines de K.Line.
A Saint-Vulbas dans l’Ain, K.Line a également crée de l’emploi dans le cadre de l’ouverture d’une nouvelle usine de 50 000 m2 début 2018. 64 personnes ont déjà été recrutées et 50 postes sont à pourvoir d’ici la fin de l’année « afin d’accompagner la mise en production effective » du site. Le fabricant indique vouloir « en étoffer rapidement l’effectif » pour se constituer une équipe de 250 personnes d’ici fin 2018.
De nombreux recrutements en interne
K.Line précise ne pas « oublier » ses salariés et leur épanouissement au sein de la société. L’ETI à l’actionnariat familial favorise la promotion interne par la formation et un management de proximité.En termes de recrutement, la société utilise une approche basée sur la méthode de recrutement par simulation, dite MRS. Déployée par Pôle Emploi, celle-ci se fonde sur les aptitudes et non le Curriculum Vitae « afin de donner une chance à tous ceux qui ont des compétences et expertises, sans forcément les diplômes pour en attester ».
« Nous avons pour but de fidéliser nos salariés et de les accompagner tout au long de leur carrière au sein de K.Line, afin de leur permettre d’évoluer et de progresser. Ce plan de recrutement a pour objectif non seulement d’étoffer nos effectifs, mais aussi de transformer des contrats intérimaires ou alternants en CDI, afin de profiter de tout le potentiel des candidats que nous formons », conclut Pierre Postic.
R.C